Le Plaisir et la Cruauté


Le plaisir 1

Eros, Sadisme, Plaisir, Cruauté, Juissance, Amour, Folie

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Disponibilité limitée à 50 exemplaires

Présentation

La première rencontre avec elle a laissé une marque indélébile sur sa peau, mais il ya un autre rendez-vous, dont il ne peut s’échapper, parce qu’elle ne veut pas y renoncer. Le lieu choisi est un d’appartement isolé sur un col de montagne. Personne ne doit voir ni entendre. Personne ne doit savoir et tout doit être possible. Les racines du mal vont sortir de la clandestinité et devenir réalité.

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http://www.lulu.com/spotlight/Enea_Tonon

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Critique

Toujours plus de folie dans cette nouvelle histoire … mais elle est tellement captivante.

On la ressent, on la vit, et on ne la lâche plus.
La folie a diverses tendances mais dans ce livre et dans cette histoire hors du commun, l’auteur nous bascule dans un monde où tout semble permis, où il n’existe plus ni loi ni règles et où le désir de vivre et de ressentir  son aventure brave tous les interdits.
Cette longue descente aux enfers nous tient en haleine du début à la fin.
C’est mon ressenti une fois encore en lisant ce livre où l’on comprend que plus rien ni personne ne changera la trajectoire de cet homme avide de sensations nouvelles, toujours plus fortes et plus intenses et il ira jusqu’au bout de son histoire, une fois encore, au péril de sa vie.

C’est une chose innée en lui, une décision mûrement réfléchie car plus que jamais il a besoin de la vivre et où rien ne l’arrêtera même s’il semblerait qu’aujourd’hui l’élève dépasse le Maître!
C’est ce qu’elle pense et qu’elle clame bien fort mais c’est sa vision des choses, et nul ne saura jamais si réellement l’un dépasse l’autre.

Chacun le perçoit et l’interprète à sa manière.
Les deux personnages sont engloutis par ce même désir de pousser leurs limites toujours plus loin,  vers cet inévitable enfer qui leur tend les bras, vers cette folie sans faille qui les habitent  et qui risque à chaque instant de les faire basculer vers un point de non-retour.
C’est encore mon ressenti dans ce livre où seul l’auteur connait le dénouement.

Un livre qui nous fait frissonner, qui nous captive, qui nous englobe et qu’on ne ferme plus avant d’atteindre la dernière page où le démon allume sa seconde cigarette.

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Fragment 1

La seule pensée que vraiment elle voudrait faire une chose pareille me fit hérisser la peau et réveilla une rage qui sommeillait en moi jusqu’à présent et je me rendis compte que si je n’avais pas mis fin à cette dérive je me serais engouffré dans un trou d’où je ne serais jamais ressorti.

– Laura, tu ne penses pas réellement essayer cela avec moi.

– Je ne suis pas stupide à ce point et tu ne pourras pas le faire.

D’un seul geste, elle envoya valser les tasses à café, les faisant voler au loin et elle se pencha vers moi avec des yeux flamboyants qui se rétrécirent et devinrent mauvais.

– Tu ne peux pas m’en empêcher et tu le sais n’est-ce-pas ?

– Je peux faire tout ce que je veux avec toi et je devrai très bien t’attacher parce que l’acide brûle plus que le feu mais je serai bonne avec toi si tu ne me crées pas de problèmes et si tu te tiens tranquille.

– Non !

 – Très bien, comme tu veux.

Elle se leva apparemment calmée, se dirigea vers la porte mais en passant devant les étagères à vaisselle, elle ouvrit le tiroir à couteau avec une rapidité foudroyante et en sortit un, pas très grand mais pointu.

En un instant elle fut près de moi alors que j’étais encore assis et coincé entre la table et le meuble qui était derrière moi.

J’avais croisé les bras devant moi en un geste instinctif pour me protéger de cette menace mais ce fut une question de seconde et la lame me pénétra dans le bras et aussitôt, elle s’éloigna de moi.

Ce n’était pas une blessure profonde mais le sang jaillit et je me levai.

Je n’avais pas peur mais j’étais sidéré et stupéfié par ce qui venait d’arriver et je me dirigeai vers elle pour lui retirer le couteau qu’elle tenait dans la main.

Elle s’arrêta devant le tiroir et sortit un autre couteau plus grand que celui que j’avais en main et elle s’approcha de moi en le tenant par la lame.

– Prends-le.

Je le pris sans hésiter et j’étais complètement désorienté.

– Roberto, tu n’as qu’une seule possibilité à présent.

– Tu peux me tuer ou je te tue maintenant, ou par la suite si tu ne fais pas ce que je veux, et sois certain que peu m’importe ce qui peut m’arriver et qu’en aucun cas, ce serait une question d’auto-défense, la mienne.

– Penses-y et compte-tenu de ton âge, n’importe qui me croirait.

– Tu n’as pas le choix et décide-toi tot de suite et peut être que tu réussiras à me tuer, et c’est la seule manière que tu as pour m’arrêter car crois-moi, je ne renoncerai jamais à ce que je veux.

– J’aurais pu partir en vacances avec des amis et m’amuser mais au lieu de ça, je suis venue ici mais pas pour jouer et tu es à moi, complètement, et à personne d’autre.

Je regardais le couteau que je tenais en main et je le laissai pendre le long de mon flanc, et je sentis mon désarroi me monter à la gorge comme si je venais à peine de commettre un terrible crime et que je me trouvais pris dans un cauchemar d’où je voulais me réveiller.

Le sang avait coulé le long de mon bras et avait baigné ma main et la lame du couteau d’où s’échappait quelques gouttes de sang éparses qui avaient déjà formé quelques tâches rouges ici et là Laura posa le couteau sur le meuble et elle ôta sa chemise, la jetant sur le sol en la piétinant avec fureur.

– Tu es à moi comme cette chemise que j’ai acheté et payé et qui aujourd’hui m’appartient et je peux la piétiner, la déchirer, la brûler, la détruire et la jeter dans la poubelle si j’ai envie de le faire.

Elle était sans soutien-gorge, le visage déformé, furieuse et ressemblait à une bête en furie.

Elle prit dans le tiroir un autre couteau, grand et mortel comme celui que j’avais en main et elle s’approcha de moi.

– Décide-toi tout de suite, je n’ai pas le temps, je n’ai plus de temps, un seul de nous deux sortira d’ici et moi je n’ai pas peur de mourir mais je suis plus rapide que toi.

– Tue-moi.

Vraiment je n’avais pas le choix mais je n’avais aucune intention de la tuer même si cela avait été possible mais c’était tout à fait improbable.

C’était une pensée qui ne m’avait jamais effleurée et que je n’avais jamais désirée, j’aurais pu la tuer et tout ce que je ressentais était très confus en moi, certainement de la rage mais je ne la haïssais pas et je me rendais compte que c’était elle qui avait gagné.

Je laissai tomber le couteau.

Elle m’attrapa le poignet, se salissant la main de mon sang qu’elle essuya sur ses seins et elle le fit plusieurs fois, et pendant ce temps la plaie avait cessé de saigner.

Nous restâmes quelques instants immobiles, sans parler, en se fixant dans les yeux.

Elle respirait bruyamment comme si elle avait couru à une vitesse vertigineuse mais

Lentement, elle se calma et finalement elle jeta le couteau au loin.

J’avais de violents tics convulsifs qui me tordaient les lèvres mais tout à coup elle me sourit et me dit : « assieds-toi » et elle vint s’asseoir à califourchon sur mes genoux et il me sembla que c’était impossible qu’elle puisse se transformer ainsi en un instant.

A présent, elle était souriante, gaie et lumineuse.

Je me demandais laquelle était la vraie Laura, si jamais il y en avait une.

Peut-être qu’elle était simplement une habile comédienne !

– Dis-moi combien tu m’aimes.

– Dis-moi combien tu me désires.

La réponse ne l’intéressait pas.

– Je peux utiliser l’acide sur toi ?

– Oui.

J’étais fatigué, épuisé.

Elle m’entoura le cou avec ses bras et ses dents commencèrent à me mordre le visage, les oreilles, les lèvres, le nez mais avec délicatesse et en même temps sa langue me caressait la peau avec avidité alors qu’elle se remuait d’avant en arrière, mimant un rapport sexuel.

Enfin, comme prise par une pensée subite, elle sauta par terre et m’entraîna dans la salle de bain.

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3 Comments

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