Chambre 101 – L’Obscéne et la Racine du Plaisir –


copertina francese 33 del 12-04.13

Eros, Sadisme, Plaisir, Cruauté, Amour, Juissance, Folie

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Outre le plaisir, se déroule l’histoire vraie d’un amour sadique, vécu par une jeune femme cruelle, sans règle ni scrupule. Avec une détermination glaciale, elle cherche l’extase des sens à travers sa brutalité, convaincue que le plaisir sublime est impitoyable, et l’exercice du mal doit être pour elle-même,tout à fait possible. Elle est également convaincue que le plaisir est si puissant et déterminé, car écrit dans l’ADN, tandis que l’amour est une sensation faible, qui trouve ses origines dans la culture.
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Chapitre 3

Chambre 101

Nous savions tous les deux que notre rencontre n’était pas faite de paroles mais d’aliénation et aussi longtemps que la chambre 101 ne se ferma pas, nous restâmes en silence.

Il n’y avait pas besoin de mots.

Une étreinte prolongée, ses lèvres sur les miennes et sa langue douce enveloppait la mienne comme un serpent et tout à coup, de façon inattendue ses dents commencèrent à mordre mes joues avec force et durée, encore et encore, pendant que mon cerveau essayait de résister à la douleur mais c’était impossible et finalement une larme coula le long de mon visage.

Je lui tenais la taille avec les mains et j’aurais facilement pu la repousser mais je ne le fis pas même si tout mon instinct me dictait de le faire.

Un léger gémissement m’échappa en même temps qu’elle me mordait le menton jusqu’à le faire saigner.

Subitement elle s’arrêta en me fusillant du regard :

– Tais -toi on t’entend.

Le ton de sa voix était sifflante et en colère.

Puis sans attendre un instant, elle recommença à me mordre.

De temps en temps elle s’arrêtait un moment pour me regarder directement dans les yeux avec un sourire ironique mélangé à de la brutalité pure et de la méchanceté.

Elle espionnait mes réactions et en même temps, semblait me dire :

– Si tu pensais que c’était un jeu tu avais tort.

Elle me mordait les lobes de l’oreille, les sourcils et les lèvres à sang avec goût et calme mais sans montrer aucune émotion ni un signe d’excitation.

Elle me dit plus tard qu’au contraire son excitation rejoignait les étoiles dans ces moments là, spécialement quand elle réussissait à atteindre les molaires, et elle serrait les jambes pour son plaisir et elle aimait le faire avec calme, goûtant toutes les sensations lentement, pleinement, anticipant ainsi la prise de possession de tout ce qu’elle pouvait faire avec moi.

Une sensation de pouvoir absolu qui l’amenait à l’extase.

Encore aujourd’hui, quand je me regarde dans une glace je peux voir une petite cicatrice sur la lèvre supérieure et quand je m’arrête pour la regarder je sens un frisson sous la peau, une émotion évidente et pendant un moment je reste comme çà en plissant les yeux alors que le reflux des souvenirs endigue mon esprit.

Enfin satisfaite, elle s’éloigna de moi et je remarquais le sang autour de ses lèvres et en même temps qu’elle essuyait la sueur de son front du dos de la main elle le vit aussi et elle eût un violent tremblement et se lécha les lèvres.

Le sang était celui de ses morsures sur mon menton et à nouveau elle se remit à mordre mon menton sur les mêmes blessures qu’avant, pire encore, et elle se remit à les sucer et à les lécher mais cette fois ce n’était plus dans le silence.

C’était des petits rugissements qui sortaient du plus profond d’elle- même et qui me faisaient frissonner.

Fatiguée de mon visage elle commença à déboutonner ma chemise mais elle était impatiente et me la glissa par dessus la tête, puis comme si elle avait cultivé son anxiété, elle recommença à me mordre.

Elle me mordait les épaules, la poitrine, les bras et finalement les mamelons avec une telle force, en un temps qui me paraissait infini, que j’ai eu peur qu’ils se déchirent.

Ses morsures durèrent très longtemps, tellement longtemps que je devenais fou de douleur et que je ne pouvais plus retenir les gémissements qui sortaient de ma gorge.

Je n’aurais jamais imaginé qu’un jour les dents d’une femme me provoqueraient autant de douleurs atroces et insupportables et je fis appel à toute ma volonté pour ne pas me lamenter et la laisser continuer plus longuement, mais mon instinct me suggérait de tout arrêter.

Je restais, et malgré la douleur et le reste, après tout ce que j’avais dit auparavant avant de nous rencontrer il m’était impossible de revenir en arrière et je restais cloué là, aussi parce que j’étais fasciné de voir jusqu’où ses désirs pourraient la conduire réellement.

Dans ses yeux étincelants, le charme de l’abîme me paralysait.

C’était comme si j’avais pris une décision définitive et je ne pouvais pas revenir en arrière.

A chaque minute qui passait, les douleurs m’ankylosaient et je devenais presque insensible.

L’esprit sait comment se protéger et aussi absurde que cela puisse paraître, j’étais fasciné par la petite qui me mordait avec férocité.

Je ne saurai jamais comment j’ai pu supporter une telle douleur.

En même temps je voulais qu’elle s’arrête tout de suite et je n’avais pas en moi la moindre trace d’excitation ou de plaisir.

Il semblait qu’elle ne finirait jamais, elle prenait possession de mon tourment avec une lenteur exaspérante et dans les brefs moments où ses dents ne mordaient pas ma chair sa respiration était haletante, dans ses yeux un vague sourire moqueur et amusé et quand finalement elle fut rassasiée elle me laissa libre, étourdi,  avec des petits tremblements nerveux.

Elle était belle et j’aimais la regarder.

Je m’asseyais sur le bord du lit pour me reposer un instant et aussitôt elle se mit à califourchon sur mes jambes et enleva sa chemise et son soutien gorge.

Ils me plaisaient beaucoup ses petits seins en forme de pyramide et ses mamelons roses en contraste avec ses cheveux noirs et sa peau bronzée.

Elle me prit par les cheveux, faisant glisser mes lèvres sur ses seins que je suçais avec désir.

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